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En CE2, l’institutrice de mon fils a proposé de lui faire sauter une classe. Ceci nous a amenés à réfléchir, et nous avons fait l’analyse suivante :
Avantages supposés de sauter une classe
On nous présentait 2 avantages possibles :
1- régler un problème : lui donner un travail plus exigeant pour ne pas qu’il s’ennuie et soit démotivé. On peut voir sur internet que le saut de classe peut en effet être une solution si l’enfant s’ennuie au point de se plaindre, perdre sa motivation, déprimer, décrocher. Mais notre fils n’en était pas là, il termine son travail plus tôt, et ensuite il lit, ou il explique aux copains.
2- saisir une opportunité : « gagner une année ». Nous ne voyons pas en quoi on gagnerait une année. Quel est l’intérêt d’avoir le bac à 17 ans au lieu de 18 ?
Inconvénients
1) Le changement amènerait plus de travail à faire, en classe et à la maison, sur son programme d’activités déjà fort chargé, ça deviendrait trop…
2) … ou alors il faudrait diminuer les activités en dehors, ce qui serait dommage. Il fait de la danse, du foot, du ski, du dessin, du montage video, et de la musique. Les activités extra-scolaires (sociales, sportives, artistiques, manuelles) sont tout aussi importantes que l’école pour son épanouissement. Elles lui procurent du bonheur, et peuvent contribuer à déterminer ses choix futurs. Tant mieux si la charge scolaire n’est pas trop lourde pour lui: ceci lui permet de développer beaucoup de choses en dehors.
3) Nous avons un objectif : qu’il réussisse l’admission pour faire au collège le programme spécial ENP avec certains cours en anglais. Il a 3 chances pour tenter l’examen (fin CE2, CM1, CM2). Sauter l’année de CM1 diminuerait ses chances de réussir l’admission à l’ENP : moins de disponibilité pour travailler son anglais, et il n’aurait que 2 chances au lieu de 3 pour réussir une admission à un niveau CM2.
4) Se retrouver avec des enfants tous plus âgés entraîne un risque social et psychologique, il pourrait mal vivre cette situation de 3 manières: se sentir différent des autres, plus intelligent, et en être perturbé / être regardé de travers, charié, moqué par les autres: ceux qu’il a laissés derrière, et ceux qu’il a rejoints / se sentir mal à l’aise dans un entourage plus âgé que lui, être derrière, moins bon, moins au courant, moins mature. Nous souhaitons plutôt qu’il se sente un enfant parmi les autres, de son âge, sans distingo, bon pour certaines choses, et moins bon pour d’autres (le foot !).
5) Puisque ses professeurs le disent, nous comprenons qu’il pourrait acquérir en un an de moins les connaissances requises en math et en français. Mais perdre l’année de CM1, c’est perdre beaucoup d’autres choses :
– une année d’enfance, d’insouciance, de bonheur relax. Les excursions scolaires en car, le foot du samedi, les fêtes d’anniversaires, aller en vélo retrouver les copains au city stade, les sorties ski du mercredi, …
– les autres apports de la classe : la poésie, l’histoire-geo, les débats, les lectures, …
– un an de moins pour ses parents, pour développer sa compréhension du monde : mener la transition progressive de la bulle de l’enfance protégée, aux réalités d’un monde violent et incertain. Par des discussions, des livres, des rencontres, et sa réflexion personelle
– un an de moins pour ses parents pour faire avec lui des activités extra-scolaires : jeux, sports, boîtes de science, construction de cabane, bricolages, lectures, films, dessin, montage video, …
– il se retrouverait un an plus tôt (à 10 ans !!!) dans le grand collège avec des enfants plus âgés que lui, au lieu de pouvoir murir un an de plus avant le grand saut.
On ne peut pas compresser toutes ces choses en un an de moins. On est obligé d’en perdre une partie. Mais ces éléments perdus ne sont pas que du bonheur en moins : ils sont nécessaires à sa construction progressive, au développement de ses capacités sociales, de sa personnalité, de ses connaissances.
6) Dans les 15 années qui suivent, pour toutes les choses à découvrir, il serait le plus jeune du groupe.
– Au plan scolaire, il passerait du statut de « je travaille normal, et je me retrouve classé en haut », à « je travaille dur, et je me retrouve classé moyen ». Ca peut être difficile à vivre.
– Physiquement, il serait parmi les plus petits. Celui qui court moins vite, est moins bon dans les sports pour lesquels les aptitudes viennent avec l’âge.
– au niveau mental, maturité, sexualité, relations sociales, violence, il sera confronté plus tôt que les autres aux questions nouvelles, plutôt que de les découvrir plus lentement, avec les enfants de son âge
– les difficiles questions de choix d’orientation (bac, études) se poseront un an plus tôt, augmentant peut-être le risque de se tromper
– Si il entreprend des études universitaires, il pourrait avoir à quitter la maison et apprendre à vivre en autonomie, à 17 ans !
Notre conclusion
Pour notre cas précis, nous ne voyons aucun avantages et pas mal d’inconvénients et de risques.
Tant que ça se passe bien, pourquoi changer ?
Bonjour et merci beaucoup pour votre article très clair (avec les titres, c’est hyper pratique) sur le saut de classe, le glissement et le décloisonnement. Nous sommes exactement dans la situation de réflexion et d’échange avec l’équipe éducative que vous décrivez pour notre second fils HPI ! Le 1er (HPI également) a fait un glissement en maternelle. Sa scolarité a toujours été compliquée même avec cette année d’avance. Je ne sais pas comment cela se serait passé en restant dans le niveau de son âge… Des années après, c’est-à-dire au collège en 3e, il nous dit que le saut de classe est bénéfique par rapport aux apprentissages et découvertes (« sinon c’est d’une lenteur…) et négatifs par rapport aux relations sociales et aux moqueries que cela engendre au collège. Cet aspect a été très difficile à vivre pour lui et nous conseille même de ne pas faire de saut de classe pour son petit frère à cause de cela. Situation difficile… Qu’en pensez-vous ? Est-ce un argument suffisant ? Merci d’avance pour vos conseils.
Bonjour,
Cela dépendra de la personnalité du petit frère. Les deux frères ont-ils les mêmes types de relations sociales ?
Le petit frère a également son mot à dire et il est important de savoir s’il a de vrais amis dans sa classe actuelle (et non un élève qu’il « suit » sans vrais atomes crochus). S’il est épanoui socialement, pourquoi changer. Mais s’il demande un saut de classe, c’est qu’il n’a pas peur de quitter des copains lambda.
J’espère vous avoir un peu aider.
Bonjour,
Merci de cette page très instructive.
En complément, j’ai envie de vous inviter à chercher lire sur les profils « philocognitifs », qu’une équipe Lyonaise a rebaptisé et distinguant deux types, après plusieurs années a étudier des IRMs. Ils séparent donc le complexe et le laminaire, sachant que ce ne sont pas du tout profils strictes ( on peut avoir un fonctionnement 50/50, 80/20, etc.)
Et ça n’a rien à voir avec garçon/fille, mais cela explique pourquoi certains s’adaptent et d’autres non ! 🙂
par exemple à lire ici : https://textualites.wordpress.com/2019/03/30/les-philo-cognitifs-ils-naiment-que-penser-et-penser-autrement-de-fanny-nusbaum-olivier-revol-et-dominic-sappey-marinier/ )
Attention aussi certains enfants s’adaptent dans la contrainte et dans la douleur, pour survivre à un environnement qui leur semble dangereux ou toxique. Dans ce cas ils peuvent brider leur potentiel ou se saboter, et ça n’assure certainement pas leur épanouissement.
Merci et beaucoup de bonheur à vous et vos lecteurs, malgré tous ces tracas scolaires 🙂
PS: je trouve l’appellation « précoce » un peu paradoxale, car , comme vous l’avez si joliment écrit dans l’article sur le changement de classe, le tomate de variété vertes ne deviendront jamais rouge. Ort les philocognitifs, zèbre ou autres haut potentiels ne sont pas rapide, précoce ou doués sur tout ni pour tout 🙂
Merci de ce commentaire et du lien. L’article est très intéressant et le livre cité forcément à recommander. Olivier Revol est un précurseur dans le domaine de l’enfants dit précoce, ou enfant à haut potentiel, ou maintenant enfant philo-cognitif (qui est un terme, il est vrai, plus précis mais moins connu par les parents désemparés recherchant des informations). L’important est de comprendre et aider ces enfants.
Bonjour,
Ma fille est rentrée à 2,5 ans en TPS en septembre (la seule dans une classe de PS) après échanges avec le médecin traitant et la crèche dans laquelle elle était gardée. Elle est attachée à ses copains copines de PS et suit très bien le programme. Je ne vais pas tout vous détailler mais je vois bien qu’elle ait identique au niveau de la scolarité, motricité, expression orale et sociabilité voir même plus que certains de sa classe PS. La maîtresse m’a dit dès le mois d’octobre qu’elle referait une année de PS étant donné qu’elle est considérée comme TPS. J’ai toujours élevé et occupé ma fille en fonction de son évolution et non en fonction des « cases ». Avec la rentrée en janvier de certains nouveaux TPS, je vois bien une grande différence. Je m’y prends tôt car l’année n’ai pas fini et je verrai bien ce qu’il y a de mieux pour elle je pense en avril mais je souhaiterais savoir comment passer de TPS à MS et à quel moment il faut s’y prendre ? Merci de vos conseils. Je précise que je n’ai pas mis ma fille à l’école plus tôt pour qu’elle ait 1 an d’avance, je fait au mieux en fonction d’elle.
Bonne journée et bon courage à tous les parents
Voyez avec la maîtresse de MS et le ou la directeur/trice.
À cet âge, le glissement peut se faire à n’importe quel moment de l’année du moment que votre fille a acquis les notions demandées. Mais c’est au bon vouloir des enseignants… En cas de refus, il faudra attendre un enseignant plus ouvert ou faire passer à votre fille un test de QI (le WPPSI-IV à partir de 2 ans et demi ou le WISC-V à partir de 6 ans). Présentez-lui comme des petits exercices pour connaître ses points forts. Cela évitera qu’elle répète le mot QI dans la cour de récréation et se retrouve stigmatisée.
Merci pour ce super article, qui m’a aidé à prendre ma decision. J’ai apprecié votre humour et votre côté franc.
Oui je vais prendre rdv avec la maîtresse et non je ne parlerai pas de sa potentielle précocité.
Petite fille de 5ans 1/2 Qui adore sa maîtresse et qui est d’ailleur adoré par celle ci, à tel point qu’elle l’aura eu en moyenne et grande section. C’est une enseignante qui refuse de comprendre les difficultés que nous pouvons rencontrer avec notre fille. Pour elle le problème est à la maison mais pas à l’école. Actuelement Ma fille est parfaitement cadré par sa maîtresse strict et exigeante, alors pourquoi s’inquiéter? Le souvenir de la petite section, elle s’est transformé en monstre abominable/ ingerable à l’école et à la maison. Que va t il se passer à son arrivé au CP? Alors on croise les doigts pour qu’elle tombe sur une enseignant qui sera la prendre, je vais tenter de parler de ses particularités pour que sa maîtresse actuelle la dirige vers une maîtresse compréhensive l’année prochaine.
Et je reviendrais lire cet article avant chaque rdv d’enseignant pour ne pas commettre d’impair 😉
Merci pour les compliments, ça me fait très plaisir !
Effectivement, on n’ose pas « prendre les devants », mais c’est une année entière qui est en jeu. Et lorsqu’il y a plusieurs enseignants de cp, autant tenter d’orienter la décision des enseignants lors de la création des classes. En y allant doucement, comme vous l’avez bien noté 🙂 Ceci est valable (info pour les lecteurs) aussi pour ne pas séparer deux copains (ou copines) !
À bientôt !
Bonjour,
J’ai un fana de romans de dragons à la maison.
Je complète donc la liste avec plaisir :
Pour les 6-8 ans suivant leur niveau de lecture :
L’enfant dragon d’Éric SANVOISIN, qui se poursuit ensuite par l’île aux dragons puis la colère des dragons.
la série Les dragons de Nalsara d’Alban MERILLEAU
Autre série L’école des massacreurs de dragons de kate McMULLAN
Harold et les dragons de Cressida COWELL
Pour plus grands :
La série les royaumes de feu de Tui T.SUTHERLAND en 10 tomes bientôt 11.
Le cavalier du dragon de Cornelia FUNKE en 2 tomes.
Pour mon fils, la préférence va pour les deux dernières propositions.
Bonjour Tatiana et merci de partager les lectures de votre fils. Mon neveu a lu Le cavalier du dragon et il a aussi bien aimé. Votre commentaire me fait réaliser que je n’ai pas précisé le nom de la série de Cressida Cowell, je rajoute ! À bientôt pour d’autres lectures (ou autres).
Bonjour Delphine,
Un énorme merci pour cet article qui me permet de me sentir moins seule et qui me conforte dans certains de mes choix…
Sans entrer dans les détails, j’ai 3 garçons (CM2, CE1, GS) chacun avec un profil différent, ce qui nous a amené à en tester 2 (le grand et le petit) qui ont vraiment du mal à « rentrer dans le moule » et à « cacher leur ennui »… Devant les difficultés récurrentes que nous rencontrons chaque année (on a un peu l’impression de jouer à la loterie à chaque rentrée : est-ce que cette année nos enfants auront des enseignants qui leur conviendront ? oui j’ose, c’est aussi à l’enseignant de convenir à l’enfant !), j’ai proposé aux directeur/trice des 2 écoles concernées de venir discuter avec eux de « ma vie de maman d’EIP ». En préambule, je leur ai proposé une petite enquête « made home » pour savoir un peu sur niveau de connaissances sur cette question. Résultats : aucun retour (malgré relance et promesses vides) de l’école maternelle (ben zut alors, c’est quand même là que se fait le 1er « dépistage »…) et une enquête remplie pour 100% des enseignants de l’école primaire mais aucune suite donnée, puisqu’ils veulent une intervention par un « spécialiste compétent » si possible de l’EN (dans le 93, c’est de l’utopie, les EIP ne sont vraiment pas la priorité du rectorat…)
Mais le plus intéressant, c’est que j’ai aussi fait cette démarche auprès du centre de loisirs de école maternelle et que là, ça a marché au-delà de mes espérances : enquête répondue collectivement, RDV réguliers l’année dernière pour des petites interventions de ma part (j’avais totale liberté sur le fond et la forme de mes interventions donc c’étaient vraiment des échanges). Et en fait, je me suis rendue compte que les plus mal lotis sont ces animateurs qui ont vraiment à coeur de s’adapter au mieux à TOUS les enfants, sans le cadre rigido-rigide de l’EN mais qui n’ont souvent aucune formation/information sur les EIP… Et ils m’ont certifié que mes interventions les ont vraiment aidés à adapter leur animations, jeux et projets éducatifs à ces enfants, et qu’ils ont l’impression de mieux détecter certains signes maintenant… A tel point qu’ils m’ont à nouveau sollicitée cette année et que ma venue est attendue de pied ferme…
Et ma question maintenant est « que pourrais-je faire de plus à mon niveau pour faire avancer la question et faire qu’un jour les mots « précocité intellectuelle » ne soient plus tabou ?
Bonjour,
Pour de nombreuses raisons, sensibiliser à la précocité est extrêmement délicat. Pour le refus de la primaire, j’imagine 3 raisons à cela :
-Vous êtes parent (et donc non professionnel, comme ils le disent), ils n’ont donc pas l’assurance que vous maîtrisiez le sujet et que vous sachiez vous exprimer clairement en public.
-Ils craignent que vous parliez uniquement de vous et de vos enfants.
-Pour toute intervention extérieure, le directeur a de la paperasse à remplir, ce qui est non incitatif lorsqu’en plus, on ne connaît pas les qualités de l’intervenant.
Le point positif est le 100% de réponses des profs de primaire. Aussi, peut-être qu’un coup de pouce du référent EIP de votre académie serait-il possible. Comme vous le dites vous-même, il est certainement surchargé et n’intervient qu’en cas de problème. Mais s’il échange au téléphone avec vous, il pourra « rassurer » le directeur d’école quant à vos connaissances sur la précocité. Vous pouvez lui (référent et/ou directeur) envoyer par mail un plan des sujets que vous voulez aborder.
Quant à la maternelle, les enseignants (et même les parents) ont tendance à penser que les enfants sont trop petits pour que l’on s’intéresse à leurs capacités et leur avenir. Mais cela peut se faire en 2 temps. Une fois que vous serez intervenue en primaire, si cela s’est bien passé, ce sera beaucoup plus facile pour la maternelle.
Mais gardez à l’esprit qu’il y a encore plus difficile que de vouloir parler de précocité avec un enseignant : c’est vouloir lui « apprendre quelque chose » 😉
Aussi, voyez quel peut être le prof « cheval de Troie » de l’école et offrez-lui le livre présenté dans l’article (Je suis précoce, mes profs vont bien) en précisant bien que ce livre a été écrit par un professeur !
Dites-vous que si tout cela n’aboutit pas, vous avez déjà aidé de jeunes animateurs et, comme le colibri de Pierre Rabhi, vous avez fait votre part.
Bon courage à vous et à vos trois garçons.
De rien ! L’idéal est de ritualiser l’exercice de concentration lorsque votre fils a besoin de redescendre de son nuage. Après, il pourra y retourner 🙂
Merci pour le commentaire et à bientôt,
L’astuce est super, mais il est déconseillé de placer le pied sur le genou car on peut finir par se faire vraiment mal (dixit le yoga). Il est préférable de placer le pied au-dessus du genou si la souplesse et les abdos le permettent ou en dessous sur le mollet.
Nous allons tester l’astuce cette semaine en tout cas
Oui, vous avez raison ! Je modifie le texte. Sur la photo, on voit qu’il met le pied au-dessus du genou (on remarquera que les garçons ont vraiment de grands pieds ! Moins facile pour eux 😉 Merci pour le commentaire et à bientôt donc,
Tellement ça, tellement bien décrit. Merci.
Maman et enseignante, avec la même « erreur » de début de carrière pour le premier petit précoce dans la classe, puis parcours très compliqué avec une fille dès la moyenne section de maternelle, à raser les murs au moment de la sortie, à envoyer le papa aux rendez-vous des maîtres. Je passe sur les horreurs entendues dans la salle des profs, dans les réunions pédagogiques (à avoir honte d’être Enseignante), maltraitance morale de la part d’un maître et directeur opposé au saut de classe…changement d’école en cours d’année, déménagement…tout y est. Dire où ne pas dire? lectures, conférences, rencontres dans une association où je confirme, elle était la seule fille. L’important est de savoir qu’on s’en sort en rencontrant des personnes en O.R 😉sur ce long chemin semé d’embûches.
Effectivement, nos deux parcours sont en tous points les mêmes (harcèlement de l’enfant y compris). Je ne sais pas si vous êtes enseignante dans le premier ou le second degré (je parie pour le second à cause de la salle des profs plutôt que la salle des maîtres, j’ai juste? 😉 ). De mon côté, en tant qu’enseignante au collège, je trouve frustrant de ne pouvoir aider les élèves en difficulté (que ce soit dans les apprentissages ou en souffrance psychologique) que 1 à 2 heures par semaine. Je sais que les conditions de travail des professeurs des écoles sont parfois très difficiles, mais l’accompagnement des élèves au quotidien permet un vrai soutien. L’impact de ces enseignants sur la vie des élèves est faramineux (pour le présent et le futur de l’élève). D’où ce sentiment d’impuissance du parent priant la Déesse des profs (la grande Mutation) pour placer un enseignant compréhensif/curieux/expérimenté sur la route de son enfant. J’espère que votre fille a fini par trouver « son école ».
Bienvenue à vous et à bientôt,
Article très intéressant. C’est toujours le même problème, quand nos enfants ne rentrent pas tout à fait dans les cases. J’hésite toujours à parler aux professeurs. mes enfants (filles et garçon) sont des calmes, qui ne font jamais de vagues mais la grande a fait de la phobie scolaire en rentrant en 6ème tellement elle s’ennuyait que sa réalité ne correspondait pas à ce qu’on a pu leur vendre de difficulté. mais de là à en parler? aucun de ses instit n’a rien vu, elle lisait en cours mais elle ne gênait pas, les autres idem. ils ne gênent pas, donc on les laisse dans leur coin. mais ils détestent l’école. mais le plus dur, c’est les enseignants qui font comme si cela importait. quand elle a fait son blocage, ses enseignants étaient tous cool avec elle, prêts à mettre en place plein de trucs pour qu’elle revienne en cours. mais si les discours étaient beaux, dans les faits, rien ne s’est jamais produit et elle s’ennuie toujours autant.
Oui, je comprends votre frustration car on en arrive à se dire qu’un enfant qui s’ennuie « mais n’a pas de problème », c’est un moindre mal. Mais ces enfants précoces caméléons finissent par détester l’école. Essayez de leur expliquer que si l’école est mal faite (on est d’accord!) ils ne doivent pas en payer le prix (ne pas poursuivre les études les amenant vers un métier qui les intéresse). Il faut être plus malin que l’institution. Si l’enfant bloque, c’est elle qui gagne. Ils doivent trouver leur moteur. Faire « ce qu’il faut à l’école pour toujours avoir le choix pour leurs futures orientations » mais avec détachement. Et se cultiver, se nourrir, se passionner, se lancer des défis (apprendre le chinois, les échecs etc), se relaxer (yoga), se vider la tête (sport) pour ne pas déprimer. C’est malheureusement uniquement à ce niveau que les parents peuvent intervenir, mais cela peut suffire à ne pas faire une fixation sur l’école. Le côté défis est important car au collège (et je sais de quoi je parle), tout est fait pour que tout le monde ait de bonnes notes, alors les enfants précoces sont au-delà de l’ennui! Et les enseignants ont d’autres soucis qu’un élève qui ne pose pas de problème… Apprenez-leur ce que l’école n’apprend plus : le goût de l’effort. Pas besoin des matières scolaires pour cela ! Bon courage à vous et à vos deux enfants.
Ce jeu à l’air super! Ici on s’est pris d’affection aussi pour le gravity superstar du même éditeur, et sinon en coopératif le zombie kidz où de super enfants badass combattent ensemble les zombies qui envahissent l’école, ce jeu est en plus évolutif avec différentes missions, des enveloppes à ouvrir au fur et à mesure des parties et qui ajoutent des pouvoirs, des personnages etc…
Bonjour Virginie,
Merci pour les deux idées de jeux. Je suis allée voir les règles (je ne les connaissais pas). Ils ont l’air bien, surtout zombie kids qui doit même être addictif avec les enveloppes qui se méritent 😉 C’est une sorte d’initiation aux jeux de rôle avec le guide, les personnages etc Les mini geeks vont adorer, ainsi que leurs parents 😉 Je précise (pour les lecteurs) qu’il s’agit de « zombies mignons », pas ceux de walking dead !
Je viens de lire votre article avec beaucoup d’attention! Je suis une adulte à haut potentiel qui a beaucoup souffert pendant sa scolarité, mariée à un haut potentiel qui lui a été poussé et soutenu dans sa scolarité. Et nous avons maintenant une petite tornade qui devrait rentrer à l’école en septembre prochain et ça me questionne en tout point…Pourvu qu’elle vive sa scolarité comme mon mari, pourvu que ses enseignants soient gentils, bienveillants …. Comment faire si nous la voyons en souffrance…
Dites-vous que votre fille aura un vrai point fort : des parents qui la soutiennent. Certains hp se sentent seuls à l’école mais aussi chez eux… Donc c’est déjà un bon point pour elle 🙂 Ensuite, comme vous serez vigilants, en cas de problème, il existe aujourd’hui »hui davantage de solutions comme les écoles alternatives (parfois moins chères que ce que les parents pensent) ou l’école à la maison, ou le saut de classe (pour échapper à un enseignant pas sympa). Invitez dès le début de l’année des camarades d’école pour qu’elle ne soit pas isolée. Et si ça se trouve, elle va se faire rapidement des copains et sa maîtresse sera super ! Ne stressez pas car elle va le ressentir. Demandez à votre mari de lui raconter des anecdotes sur sa scolarité (sans décrire l’école comme un monde merveilleux). Voyez mon article sur la rentrée en maternelle. Et vous nous donnerez des nouvelles !
Bonjour, comment amener mon fils de 10 ans vers le collège sans peur ? Faut il prendre de l avance cet été ? Trouver les évaluations d entrée en 6ème ? Bref comment nous rassurer, nous aussi ?
Merci Delphine
Bonjour Marlène,
Pour répondre à ce commentaire, je me suis lancée dans une explication qui allait faire 2 pages (les coulisses du collège, ça me connait et le sujet est important !). Du coup, je résume en quelques lignes (forcément incomplètes) et je concocte un article sur le sujet (merci pour l’idée !).
Deux types de peur peuvent étreindre élèves et/ou parents : peur que l’enfant ne soit pas à niveau et peur qu’il n’ait pas d’amis. Aujourd’hui, l’entrée en 6e d’un enfant est bien différente de celle connue par ses parents. Il est plus facile d’avoir de bonnes notes et il est plus difficile au niveau des relations (sujet que l’enfant n’évoquera pas souvent de lui-même).
Trouver les évaluations ? Non, aucun intérêt. Prendre de l’avance cet été ? Oui, mais plutôt dans la culture générale que dans les matières dites scolaires (voici un point à développer).
Je finis avec les cahiers de vacances (sujet de l’article ci-dessus) qui ont pour moi 2 utilités (seulement si l’enfant adhère!) : rassurer les enfants anxieux et maintenir un minimum de gymnastique cérébrale (bien que cette gym puisse se faire avec d’autres activités).
À bientôt donc,
Bonjour ! merci pour votre blog qui fait du bien à une maman de deux garçons précoces ( 9 ans et 4ans 1/2) , que tous les instituteurs prennent pour al mère qui pousse ces enfants à être des génies …. Je veux bien le pdf des tables de multiplications
Merci beaucoup vous lire m’a fait beaucoup de bien .
Cindy
Bonjour Cindy,
Eh oui, être soupçonnée de pousser ses enfants alors qu’ils ont simplement la capacité de tout comprendre instantanément depuis leur plus jeune âge… De trop nombreux parents vivent ça (et bien pire). Ce blog est fait pour vous aider et c’est une bonne chose si cet article vous a apporté du soutien. Pour recevoir les puzzles, allez tout en haut de la colonne de droite et cochez ‘je désire recevoir l’activité Star Wars’ en précisant votre mail. Je vous conseille aussi d’explorer la catégorie PRÉCOCITÉ sur la bannière noire tout en haut. Vous y trouverez plein d’idées pour vos garçons. Et comme ce blog est encore jeune et que la précocité est un domaine que je connais bien, cette catégorie va s’enrichir régulièrement. À bientôt et courage.
Bonjour,
Je suis votre blog depuis peu et je trouve les articles très intéressants et plein de bon sens.
Ils nous apportent beaucoup dans notre quotidien avec nos enfants.
En attendant votre prochain article. Bonne continuation
Cléa
Merci pour ce blog les parents se retrouvent seuls devant les difficultés de leurs enfants et de trouver un professionnel qui puisse nous donner des astuces c’est réconfortant.
Merci Lucie.
Vous avez parfaitement compris le but de ce blog : « armer » les parents pour « compenser » les lacunes de l’Éducation Nationale malmenée depuis trop longtemps. Sans parler du stress lié à notre société…
Vous êtes donc un « super parent »! Pas dans le sens « parfait » (cela n’existe pas 😉 mais par votre volonté à chercher des solutions et à faire progresser votre enfant.
Bonjour
pour l’avoir rencontrée je recommande fortement madame Paris responsable de la cellule eip Paris.
Quand à prévenir les enseignants…. c’est un risque à courir mais cela peut être catastrophique si il n’est pas bienveillant. Nous l’avons fait au collège. Au mieux il n’y a eu aucun changement au pire il s’est moqué de ma fille devant la classe (tu n’est pas un génie va voir un psy) qui depuis ne veut plus que l’on en parle à quiconque : sa confiance dans les adultes est totalement détruite » personne ne peut me comprendre » et tout le travail d’acceptation de sa « différence » est à refaire.
Peut-être d’abord rencontrer le professeur sans en parler, voir comment il perçoit votre enfant et avancer caché ( en donnant des indices et voir comment il les perçoit) avant de tout dévoiler serait à posteriori plus judicieux.
Bonjour Aube,
Vous avez tout à fait raison ! Si l’enfant n’a pas de problème d’adaptation, il vaut mieux ne rien dire. Mais lorsqu’il y a « problème de comportement » comme disent les professeurs, le parent se trouve devant un dilemme. D’un côté, le comportement de l’enfant nécessite explication, et de l’autre côté, on aimerait éviter d’avoir à ‘avouer’ sa particularité. Tout cela est compliqué et difficile à vivre pour l’enfant et les parents (ce dernier point étant totalement ignoré des enseignants). Donc oui, il faut tâter le terrain avant de se lancer et c’est un atout précieux d’avoir un appui (référent EIP, CPE, Copsy, un rapport de test de personnalité mettant à jour une hypersensibilité, etc). Dans l’article je parle de repérer la personne « Cheval de Troie », c’est-à-dire cibler un enseignant ouvert à la question. Mais je suis bien placée pour savoir que souvent, on ne la trouve pas. Il y a 10 ans, lorsque mon fils était au collège, il valait mieux tout cacher. Aujourd’hui, pour un grand nombre de parents, rien n’a changé. Si ce n’est de pouvoir passer par une personne « officielle » comme le référent EIP qui sera plus crédible aux yeux des enseignants que les parents souvent soupçonnés d’idolâtrer leur enfant.
J’ai eu effectivement de bons retours à propos de la référente de l’académie de Paris, madame Paris (la bien nommée).
En tous cas, je vous souhaite bien du courage à vous et votre fille. Ce qui améliore la vie de ces enfants c’est d’avoir au moins un bon copain. Malheureusement, à cet âge, l’enfant se focalise sur les enseignants et en oublie de ‘nouer des relations’. Voyez de ce côté (dans sa classe ou en récréation, dans un groupe théâtre par exemple). Si vous êtes sur Paris, voyez dans les groupes EIP enfants sur Internet (si elle n’a pas d’ami(e) proche). Le soutien des proches est essentiel mais j’imagine que je ne vous l’apprends pas. C’est un peu de douceur dans ce monde de brutes…
À bientôt j’espère,
Delphine
Votre site est vraiment super, je suis ravie de l’avoir découvert et je n’hésiterai pas à le faire connaître à mon entourage ! 🙂 Un grand merci pour votre partage ! 🙂
Merci beaucoup Delphine de votre réponse!
Non c’est bien moi qui ai écrit, paradoxalement je suis douée en orthographe et ai envie de lire plein de livre car énormément de sujets m’interessent, mais mon apprentissage me fait défaut car cela me demande un gros effort visuel, je lis plus lentement que la moyenne des gens et me fatigue vite à lire…
Je parlais d’orthophonie car il me semble qu’il existe des moyens de ré-éduquer les gens à la méthode syllabique (mais les adultes je ne sais pas).
Mais je vais consulter le site Alphalire qui pourra sûrement m’aider, ainsi que le livre d’Anne Marie Gaignard!
Encore merci pour vos précieux conseils!
Bien à vous
Bonjour;
j’ai une fille de 4 ans qui s’intéresse beaucoup à l’alphabet, à la lecture, je commence à regarder les méthodes d’apprentissage auxquelles je pourrais l’initier (votre article est d’ailleurs excellent! Merci!), cependant j’ai moi même appris avec la méthode globale et cela ne m’a absolument pas convenu, cela m’a toujours énormément handicapée (pas d’intérêt pour la lecture, mauvaise lecture d’énoncés en tous genres,… je rêve de pouvoir dévorer un livre dont le sujet m’intéresse mais en suis réduite à écouter des livres audio). Alors je me demandais si vous connaîtriez une méthode d’apprentissage (ou ré-apprentissage) pour un adulte qui aurait mal appris?
Ou peut être dois-je me tourner vers un orthophoniste…?
Merci pour vos conseils 🙂
Laureline
Il me semble que les méthodes d’apprentissage FLE (Français Langue Etrangère) dispensées aux adultes arrivant en France pourraient vous être utiles. En vous basant sur la lecture bien sûr, comme par exemple le site Alphalire (quelques exercices gratuits). Je ne connais pas spécialement, mais c’est une piste.
Vous parlez d’orthophoniste. J’en déduis qu’une autre personne a écrit votre commentaire (aucune erreur orthographique) ?? Si c’est le cas et que vous confondez les lettres, oui, une orthophoniste peut vous aider. Voyez aussi les livres d’Anne-Marie Gaignard, comme Coaching orthographique
Si, au contraire, c’est le goût de la lecture qui vous fait le plus défaut, voici 2 pistes à explorer :
– La bibliothèque municipale où vous choisirez avec votre fille des livres enfants que vous lui lirez le soir.
-Pour vos propres lectures, commencez par des livres simples, ludiques et abordant un sujet qui vous passionne. Vous allez me dire que le problème est justement que vous ne connaissez pas assez les livres pour trouver ces perles 😉 Si vous me listez vos centres d’intérêts, je pourrais peut-être vous guider. Par exemple, pour les amoureux des chats, le petit livre « Conversations avec mon chat » de David Fisher, est excellent.
En espérant vous avoir un peu aidée,
Delphine
Merci pour ce super article très clair et bien fourni. Je m’en vais de ce pas commander le livre « Je suis précoce, mes profs vont bien » pour l’offrir à une amie qui est prof dans le collège de mon fils.
Merci également pour vos articles qui sont toujours intéressants !
Bonjour Sylvie,
Comme je passe beaucoup de temps pour chaque article, ça me fait plaisir de savoir qu’ils plaisent. Et il y a tant à dire ! Merci pour avoir pris le temps d’écrire un commentaire.
À bientôt,
Delphine
Bonjour,
merci pour votre réponse rapide et l’accès à toutes ces activités, je vais tester et vous ferai un retour avec mon fils de 7ans à l’imagination débordante !
Oui, c’est exactement ça. SmartGames a une collection basée sur ce principe mais toujours avec un petit plus qui change tout 🙂 Celui-ci me plaît spécialement. J’ai effectivement mis le lien vers l’éditeur en cliquant sur la photo de la boîte, mais il est vrai que je ne l’ai pas précisé. Je rajoute. Merci pour le commentaire.
C’est encore Aurélie. Après les jeux de mots, c
Ce matin, Mélissa s’est attaqué aux coloriages pour réviser ses tables. même si star war ne la passionne pas (elle est plutôt passionnée par les animaux), elle a bien aimé le robot et le petit animal (moins les vaisseaux). Je suis votre blog très intéressant.
Merci Aurélie !
Cela fait toujours plaisir de savoir que mon travail plaît. Promis, j’insère des animaux dans ma prochaine activité. Je ne vous promets pas une ressemblance parfaite, il y a aura sûrement davantage de chats que de chevaux (qui risqueraient de ressembler à des ânes;-). À bientôt donc et bonnes vacances à Mélissa !
Avec ma fille de 9 ans on a fait tous les exercices. elle a été meilleure que moi pour certains et cela l’a amené a m’en réclamer d’autres. Je vais lui proposer votre autre activité. Je voulais juste dire merci.
Aurélie (et Mélissa, ma fille)
Merci Aurélie.
Je vous avais répondu sur votre commentaire de l’activité Star war. Pour cette activité-ci, il est facile de multiplier les possibilités. Du coup, je vais rajouter une page d’étiquettes vierges que l’enfant pourra compléter avec ses mots. Une autre page peut être ensuite complétée par vous pour augmenter la difficulté (et le vocabulaire de l’enfant). D’autres articles seront consacrés aux petits exercices maison favorisant la concentration et la mémoire.
À bientôt,
De rien Pascale ! Même si la solution miracle n’existe pas toujours, il est déjà réconfortant de ne pas se sentir seule et de ne pas culpabiliser d’avoir un enfant qui ne rentre pas dans le moule étroit de l’EN ! À bientôt,
Delphine
Bonjour,
Mon fils ainé a appris à lire avec la méthode globale voir mixte et ce fut très laborieux. J’ai acheté la méthode Boscher pour rattraper les dégâts.
C’est une méthode très simple et logique.
La maîtresse de mon deuxième fils applique une méthode syllabique et dès les vacances de noël en CP il savait lire.
Merci pour vos articles toujours très pertinents.
Cléa
Merci Cléa,
La méthode Boscher est la plus ancienne et la plus répandue chez les libraires. Elle est très bien si l’enfant n’a pas de difficultés spécifiques. Elle a sauvé un certain nombre d’enfants. Aujourd’hui, J’apprends à lire avec Sami et Julie est également une méthode très plébiscitée par les parents (à juste titre). À bientôt pour un article sur l’accord du participe passé…
Bonjour Béné,
Merci pour votre partage d’expérience. C’est effectivement un jeu familial original. À bientôt pour d’autres articles sur des jeux tout aussi sympas.
Delphine
Petite question quant aux règles du jeu, car chez nous il y a débat: on lance la sablier dès le début de la partie ou une fois les armes dérobées et les 4 personnages en fuite ?
Dès le début du jeu. Mais rien n’empêche de « jouer avec le sablier » en fonction de l’âge des joueurs. J’en profite pour préciser qu’une fois les armes dérobées, les personnages n’ont plus le droit d’utiliser les cases vortex. Mais ce que j’aime dans ce jeu, c’est justement le choix des scénarios et donc des règles du jeu. Quels âges ont vos joueurs ?
C’est ce que je pensais, merci 🙂 Les enfants ont 9 et 7 ans, nous avons juste joué 2 parties ce week-end lors d’une animation. Et en effet, les scénarios progressifs, c’est très sympa !
Bonjour,
j’ai une nièce de 6 ans et un neveu de 9. ce jeu ira mieux pour qui? merci de votre réponse.
Bonjour,
Plutôt pour votre neveu de 9 ans. Votre nièce de 6 ans pourra jouer avec lui sur les premiers niveaux. Du coup, je vais aussi penser à des jeux pour les plus petits dans les prochains articles. À bientôt,
Delphine
J’ai parlé à mon fils qui rentre en 5 ème de cet article et il m’a dit que c’est ce qu’il avait fait l’année dernière spontanément. Le vert pour la SVT car ça lui rappelle la nature. Le rouge pour l’anglais car il y a du rouge dans l’Union Jack.
Vos articles seront utiles avec la rentrée qui approche…
Cléa
En CE2, l’institutrice de mon fils a proposé de lui faire sauter une classe. Ceci nous a amenés à réfléchir, et nous avons fait l’analyse suivante :
Avantages supposés de sauter une classe
On nous présentait 2 avantages possibles :
1- régler un problème : lui donner un travail plus exigeant pour ne pas qu’il s’ennuie et soit démotivé. On peut voir sur internet que le saut de classe peut en effet être une solution si l’enfant s’ennuie au point de se plaindre, perdre sa motivation, déprimer, décrocher. Mais notre fils n’en était pas là, il termine son travail plus tôt, et ensuite il lit, ou il explique aux copains.
2- saisir une opportunité : « gagner une année ». Nous ne voyons pas en quoi on gagnerait une année. Quel est l’intérêt d’avoir le bac à 17 ans au lieu de 18 ?
Inconvénients
1) Le changement amènerait plus de travail à faire, en classe et à la maison, sur son programme d’activités déjà fort chargé, ça deviendrait trop…
2) … ou alors il faudrait diminuer les activités en dehors, ce qui serait dommage. Il fait de la danse, du foot, du ski, du dessin, du montage video, et de la musique. Les activités extra-scolaires (sociales, sportives, artistiques, manuelles) sont tout aussi importantes que l’école pour son épanouissement. Elles lui procurent du bonheur, et peuvent contribuer à déterminer ses choix futurs. Tant mieux si la charge scolaire n’est pas trop lourde pour lui: ceci lui permet de développer beaucoup de choses en dehors.
3) Nous avons un objectif : qu’il réussisse l’admission pour faire au collège le programme spécial ENP avec certains cours en anglais. Il a 3 chances pour tenter l’examen (fin CE2, CM1, CM2). Sauter l’année de CM1 diminuerait ses chances de réussir l’admission à l’ENP : moins de disponibilité pour travailler son anglais, et il n’aurait que 2 chances au lieu de 3 pour réussir une admission à un niveau CM2.
4) Se retrouver avec des enfants tous plus âgés entraîne un risque social et psychologique, il pourrait mal vivre cette situation de 3 manières: se sentir différent des autres, plus intelligent, et en être perturbé / être regardé de travers, charié, moqué par les autres: ceux qu’il a laissés derrière, et ceux qu’il a rejoints / se sentir mal à l’aise dans un entourage plus âgé que lui, être derrière, moins bon, moins au courant, moins mature. Nous souhaitons plutôt qu’il se sente un enfant parmi les autres, de son âge, sans distingo, bon pour certaines choses, et moins bon pour d’autres (le foot !).
5) Puisque ses professeurs le disent, nous comprenons qu’il pourrait acquérir en un an de moins les connaissances requises en math et en français. Mais perdre l’année de CM1, c’est perdre beaucoup d’autres choses :
– une année d’enfance, d’insouciance, de bonheur relax. Les excursions scolaires en car, le foot du samedi, les fêtes d’anniversaires, aller en vélo retrouver les copains au city stade, les sorties ski du mercredi, …
– les autres apports de la classe : la poésie, l’histoire-geo, les débats, les lectures, …
– un an de moins pour ses parents, pour développer sa compréhension du monde : mener la transition progressive de la bulle de l’enfance protégée, aux réalités d’un monde violent et incertain. Par des discussions, des livres, des rencontres, et sa réflexion personelle
– un an de moins pour ses parents pour faire avec lui des activités extra-scolaires : jeux, sports, boîtes de science, construction de cabane, bricolages, lectures, films, dessin, montage video, …
– il se retrouverait un an plus tôt (à 10 ans !!!) dans le grand collège avec des enfants plus âgés que lui, au lieu de pouvoir murir un an de plus avant le grand saut.
On ne peut pas compresser toutes ces choses en un an de moins. On est obligé d’en perdre une partie. Mais ces éléments perdus ne sont pas que du bonheur en moins : ils sont nécessaires à sa construction progressive, au développement de ses capacités sociales, de sa personnalité, de ses connaissances.
6) Dans les 15 années qui suivent, pour toutes les choses à découvrir, il serait le plus jeune du groupe.
– Au plan scolaire, il passerait du statut de « je travaille normal, et je me retrouve classé en haut », à « je travaille dur, et je me retrouve classé moyen ». Ca peut être difficile à vivre.
– Physiquement, il serait parmi les plus petits. Celui qui court moins vite, est moins bon dans les sports pour lesquels les aptitudes viennent avec l’âge.
– au niveau mental, maturité, sexualité, relations sociales, violence, il sera confronté plus tôt que les autres aux questions nouvelles, plutôt que de les découvrir plus lentement, avec les enfants de son âge
– les difficiles questions de choix d’orientation (bac, études) se poseront un an plus tôt, augmentant peut-être le risque de se tromper
– Si il entreprend des études universitaires, il pourrait avoir à quitter la maison et apprendre à vivre en autonomie, à 17 ans !
Notre conclusion
Pour notre cas précis, nous ne voyons aucun avantages et pas mal d’inconvénients et de risques.
Tant que ça se passe bien, pourquoi changer ?
Bonjour et merci beaucoup pour votre article très clair (avec les titres, c’est hyper pratique) sur le saut de classe, le glissement et le décloisonnement. Nous sommes exactement dans la situation de réflexion et d’échange avec l’équipe éducative que vous décrivez pour notre second fils HPI ! Le 1er (HPI également) a fait un glissement en maternelle. Sa scolarité a toujours été compliquée même avec cette année d’avance. Je ne sais pas comment cela se serait passé en restant dans le niveau de son âge… Des années après, c’est-à-dire au collège en 3e, il nous dit que le saut de classe est bénéfique par rapport aux apprentissages et découvertes (« sinon c’est d’une lenteur…) et négatifs par rapport aux relations sociales et aux moqueries que cela engendre au collège. Cet aspect a été très difficile à vivre pour lui et nous conseille même de ne pas faire de saut de classe pour son petit frère à cause de cela. Situation difficile… Qu’en pensez-vous ? Est-ce un argument suffisant ? Merci d’avance pour vos conseils.
Bonjour,
Cela dépendra de la personnalité du petit frère. Les deux frères ont-ils les mêmes types de relations sociales ?
Le petit frère a également son mot à dire et il est important de savoir s’il a de vrais amis dans sa classe actuelle (et non un élève qu’il « suit » sans vrais atomes crochus). S’il est épanoui socialement, pourquoi changer. Mais s’il demande un saut de classe, c’est qu’il n’a pas peur de quitter des copains lambda.
J’espère vous avoir un peu aider.
Merci beaucoup pour votre article clair et simple !
Bonjour,
Merci de cette page très instructive.
En complément, j’ai envie de vous inviter à chercher lire sur les profils « philocognitifs », qu’une équipe Lyonaise a rebaptisé et distinguant deux types, après plusieurs années a étudier des IRMs. Ils séparent donc le complexe et le laminaire, sachant que ce ne sont pas du tout profils strictes ( on peut avoir un fonctionnement 50/50, 80/20, etc.)
Et ça n’a rien à voir avec garçon/fille, mais cela explique pourquoi certains s’adaptent et d’autres non ! 🙂
par exemple à lire ici : https://textualites.wordpress.com/2019/03/30/les-philo-cognitifs-ils-naiment-que-penser-et-penser-autrement-de-fanny-nusbaum-olivier-revol-et-dominic-sappey-marinier/ )
Attention aussi certains enfants s’adaptent dans la contrainte et dans la douleur, pour survivre à un environnement qui leur semble dangereux ou toxique. Dans ce cas ils peuvent brider leur potentiel ou se saboter, et ça n’assure certainement pas leur épanouissement.
Merci et beaucoup de bonheur à vous et vos lecteurs, malgré tous ces tracas scolaires 🙂
PS: je trouve l’appellation « précoce » un peu paradoxale, car , comme vous l’avez si joliment écrit dans l’article sur le changement de classe, le tomate de variété vertes ne deviendront jamais rouge. Ort les philocognitifs, zèbre ou autres haut potentiels ne sont pas rapide, précoce ou doués sur tout ni pour tout 🙂
Merci de ce commentaire et du lien. L’article est très intéressant et le livre cité forcément à recommander. Olivier Revol est un précurseur dans le domaine de l’enfants dit précoce, ou enfant à haut potentiel, ou maintenant enfant philo-cognitif (qui est un terme, il est vrai, plus précis mais moins connu par les parents désemparés recherchant des informations). L’important est de comprendre et aider ces enfants.
Bonjour,
Ma fille est rentrée à 2,5 ans en TPS en septembre (la seule dans une classe de PS) après échanges avec le médecin traitant et la crèche dans laquelle elle était gardée. Elle est attachée à ses copains copines de PS et suit très bien le programme. Je ne vais pas tout vous détailler mais je vois bien qu’elle ait identique au niveau de la scolarité, motricité, expression orale et sociabilité voir même plus que certains de sa classe PS. La maîtresse m’a dit dès le mois d’octobre qu’elle referait une année de PS étant donné qu’elle est considérée comme TPS. J’ai toujours élevé et occupé ma fille en fonction de son évolution et non en fonction des « cases ». Avec la rentrée en janvier de certains nouveaux TPS, je vois bien une grande différence. Je m’y prends tôt car l’année n’ai pas fini et je verrai bien ce qu’il y a de mieux pour elle je pense en avril mais je souhaiterais savoir comment passer de TPS à MS et à quel moment il faut s’y prendre ? Merci de vos conseils. Je précise que je n’ai pas mis ma fille à l’école plus tôt pour qu’elle ait 1 an d’avance, je fait au mieux en fonction d’elle.
Bonne journée et bon courage à tous les parents
Voyez avec la maîtresse de MS et le ou la directeur/trice.
À cet âge, le glissement peut se faire à n’importe quel moment de l’année du moment que votre fille a acquis les notions demandées. Mais c’est au bon vouloir des enseignants… En cas de refus, il faudra attendre un enseignant plus ouvert ou faire passer à votre fille un test de QI (le WPPSI-IV à partir de 2 ans et demi ou le WISC-V à partir de 6 ans). Présentez-lui comme des petits exercices pour connaître ses points forts. Cela évitera qu’elle répète le mot QI dans la cour de récréation et se retrouve stigmatisée.
Merci pour ce super article, qui m’a aidé à prendre ma decision. J’ai apprecié votre humour et votre côté franc.
Oui je vais prendre rdv avec la maîtresse et non je ne parlerai pas de sa potentielle précocité.
Petite fille de 5ans 1/2 Qui adore sa maîtresse et qui est d’ailleur adoré par celle ci, à tel point qu’elle l’aura eu en moyenne et grande section. C’est une enseignante qui refuse de comprendre les difficultés que nous pouvons rencontrer avec notre fille. Pour elle le problème est à la maison mais pas à l’école. Actuelement Ma fille est parfaitement cadré par sa maîtresse strict et exigeante, alors pourquoi s’inquiéter? Le souvenir de la petite section, elle s’est transformé en monstre abominable/ ingerable à l’école et à la maison. Que va t il se passer à son arrivé au CP? Alors on croise les doigts pour qu’elle tombe sur une enseignant qui sera la prendre, je vais tenter de parler de ses particularités pour que sa maîtresse actuelle la dirige vers une maîtresse compréhensive l’année prochaine.
Et je reviendrais lire cet article avant chaque rdv d’enseignant pour ne pas commettre d’impair 😉
Merci pour les compliments, ça me fait très plaisir !
Effectivement, on n’ose pas « prendre les devants », mais c’est une année entière qui est en jeu. Et lorsqu’il y a plusieurs enseignants de cp, autant tenter d’orienter la décision des enseignants lors de la création des classes. En y allant doucement, comme vous l’avez bien noté 🙂 Ceci est valable (info pour les lecteurs) aussi pour ne pas séparer deux copains (ou copines) !
À bientôt !
Bonjour,
J’ai un fana de romans de dragons à la maison.
Je complète donc la liste avec plaisir :
Pour les 6-8 ans suivant leur niveau de lecture :
L’enfant dragon d’Éric SANVOISIN, qui se poursuit ensuite par l’île aux dragons puis la colère des dragons.
la série Les dragons de Nalsara d’Alban MERILLEAU
Autre série L’école des massacreurs de dragons de kate McMULLAN
Harold et les dragons de Cressida COWELL
Pour plus grands :
La série les royaumes de feu de Tui T.SUTHERLAND en 10 tomes bientôt 11.
Le cavalier du dragon de Cornelia FUNKE en 2 tomes.
Pour mon fils, la préférence va pour les deux dernières propositions.
Merci pour ce blog et tous les conseils!
Bonjour Tatiana et merci de partager les lectures de votre fils. Mon neveu a lu Le cavalier du dragon et il a aussi bien aimé. Votre commentaire me fait réaliser que je n’ai pas précisé le nom de la série de Cressida Cowell, je rajoute ! À bientôt pour d’autres lectures (ou autres).
Bonjour Delphine,
Un énorme merci pour cet article qui me permet de me sentir moins seule et qui me conforte dans certains de mes choix…
Sans entrer dans les détails, j’ai 3 garçons (CM2, CE1, GS) chacun avec un profil différent, ce qui nous a amené à en tester 2 (le grand et le petit) qui ont vraiment du mal à « rentrer dans le moule » et à « cacher leur ennui »… Devant les difficultés récurrentes que nous rencontrons chaque année (on a un peu l’impression de jouer à la loterie à chaque rentrée : est-ce que cette année nos enfants auront des enseignants qui leur conviendront ? oui j’ose, c’est aussi à l’enseignant de convenir à l’enfant !), j’ai proposé aux directeur/trice des 2 écoles concernées de venir discuter avec eux de « ma vie de maman d’EIP ». En préambule, je leur ai proposé une petite enquête « made home » pour savoir un peu sur niveau de connaissances sur cette question. Résultats : aucun retour (malgré relance et promesses vides) de l’école maternelle (ben zut alors, c’est quand même là que se fait le 1er « dépistage »…) et une enquête remplie pour 100% des enseignants de l’école primaire mais aucune suite donnée, puisqu’ils veulent une intervention par un « spécialiste compétent » si possible de l’EN (dans le 93, c’est de l’utopie, les EIP ne sont vraiment pas la priorité du rectorat…)
Mais le plus intéressant, c’est que j’ai aussi fait cette démarche auprès du centre de loisirs de école maternelle et que là, ça a marché au-delà de mes espérances : enquête répondue collectivement, RDV réguliers l’année dernière pour des petites interventions de ma part (j’avais totale liberté sur le fond et la forme de mes interventions donc c’étaient vraiment des échanges). Et en fait, je me suis rendue compte que les plus mal lotis sont ces animateurs qui ont vraiment à coeur de s’adapter au mieux à TOUS les enfants, sans le cadre rigido-rigide de l’EN mais qui n’ont souvent aucune formation/information sur les EIP… Et ils m’ont certifié que mes interventions les ont vraiment aidés à adapter leur animations, jeux et projets éducatifs à ces enfants, et qu’ils ont l’impression de mieux détecter certains signes maintenant… A tel point qu’ils m’ont à nouveau sollicitée cette année et que ma venue est attendue de pied ferme…
Et ma question maintenant est « que pourrais-je faire de plus à mon niveau pour faire avancer la question et faire qu’un jour les mots « précocité intellectuelle » ne soient plus tabou ?
Bonjour,
Pour de nombreuses raisons, sensibiliser à la précocité est extrêmement délicat. Pour le refus de la primaire, j’imagine 3 raisons à cela :
-Vous êtes parent (et donc non professionnel, comme ils le disent), ils n’ont donc pas l’assurance que vous maîtrisiez le sujet et que vous sachiez vous exprimer clairement en public.
-Ils craignent que vous parliez uniquement de vous et de vos enfants.
-Pour toute intervention extérieure, le directeur a de la paperasse à remplir, ce qui est non incitatif lorsqu’en plus, on ne connaît pas les qualités de l’intervenant.
Le point positif est le 100% de réponses des profs de primaire. Aussi, peut-être qu’un coup de pouce du référent EIP de votre académie serait-il possible. Comme vous le dites vous-même, il est certainement surchargé et n’intervient qu’en cas de problème. Mais s’il échange au téléphone avec vous, il pourra « rassurer » le directeur d’école quant à vos connaissances sur la précocité. Vous pouvez lui (référent et/ou directeur) envoyer par mail un plan des sujets que vous voulez aborder.
Quant à la maternelle, les enseignants (et même les parents) ont tendance à penser que les enfants sont trop petits pour que l’on s’intéresse à leurs capacités et leur avenir. Mais cela peut se faire en 2 temps. Une fois que vous serez intervenue en primaire, si cela s’est bien passé, ce sera beaucoup plus facile pour la maternelle.
Mais gardez à l’esprit qu’il y a encore plus difficile que de vouloir parler de précocité avec un enseignant : c’est vouloir lui « apprendre quelque chose » 😉
Aussi, voyez quel peut être le prof « cheval de Troie » de l’école et offrez-lui le livre présenté dans l’article (Je suis précoce, mes profs vont bien) en précisant bien que ce livre a été écrit par un professeur !
Dites-vous que si tout cela n’aboutit pas, vous avez déjà aidé de jeunes animateurs et, comme le colibri de Pierre Rabhi, vous avez fait votre part.
Bon courage à vous et à vos trois garçons.
Ping : Enfant précoce à l'école. En parler aux professeurs ? Comment ? | Elevons nos enfantsElevons nos enfants
Bonjour ,je vais l’ utiliser sur mon fils de 7 ans qui est souvent dans les nuages.MERCI
De rien ! L’idéal est de ritualiser l’exercice de concentration lorsque votre fils a besoin de redescendre de son nuage. Après, il pourra y retourner 🙂
Merci pour le commentaire et à bientôt,
L’astuce est super, mais il est déconseillé de placer le pied sur le genou car on peut finir par se faire vraiment mal (dixit le yoga). Il est préférable de placer le pied au-dessus du genou si la souplesse et les abdos le permettent ou en dessous sur le mollet.
Nous allons tester l’astuce cette semaine en tout cas
Oui, vous avez raison ! Je modifie le texte. Sur la photo, on voit qu’il met le pied au-dessus du genou (on remarquera que les garçons ont vraiment de grands pieds ! Moins facile pour eux 😉 Merci pour le commentaire et à bientôt donc,
Super article, merci !
Merci Evelyne !
Tellement ça, tellement bien décrit. Merci.
Maman et enseignante, avec la même « erreur » de début de carrière pour le premier petit précoce dans la classe, puis parcours très compliqué avec une fille dès la moyenne section de maternelle, à raser les murs au moment de la sortie, à envoyer le papa aux rendez-vous des maîtres. Je passe sur les horreurs entendues dans la salle des profs, dans les réunions pédagogiques (à avoir honte d’être Enseignante), maltraitance morale de la part d’un maître et directeur opposé au saut de classe…changement d’école en cours d’année, déménagement…tout y est. Dire où ne pas dire? lectures, conférences, rencontres dans une association où je confirme, elle était la seule fille. L’important est de savoir qu’on s’en sort en rencontrant des personnes en O.R 😉sur ce long chemin semé d’embûches.
Effectivement, nos deux parcours sont en tous points les mêmes (harcèlement de l’enfant y compris). Je ne sais pas si vous êtes enseignante dans le premier ou le second degré (je parie pour le second à cause de la salle des profs plutôt que la salle des maîtres, j’ai juste? 😉 ). De mon côté, en tant qu’enseignante au collège, je trouve frustrant de ne pouvoir aider les élèves en difficulté (que ce soit dans les apprentissages ou en souffrance psychologique) que 1 à 2 heures par semaine. Je sais que les conditions de travail des professeurs des écoles sont parfois très difficiles, mais l’accompagnement des élèves au quotidien permet un vrai soutien. L’impact de ces enseignants sur la vie des élèves est faramineux (pour le présent et le futur de l’élève). D’où ce sentiment d’impuissance du parent priant la Déesse des profs (la grande Mutation) pour placer un enseignant compréhensif/curieux/expérimenté sur la route de son enfant. J’espère que votre fille a fini par trouver « son école ».
Bienvenue à vous et à bientôt,
Article très intéressant. C’est toujours le même problème, quand nos enfants ne rentrent pas tout à fait dans les cases. J’hésite toujours à parler aux professeurs. mes enfants (filles et garçon) sont des calmes, qui ne font jamais de vagues mais la grande a fait de la phobie scolaire en rentrant en 6ème tellement elle s’ennuyait que sa réalité ne correspondait pas à ce qu’on a pu leur vendre de difficulté. mais de là à en parler? aucun de ses instit n’a rien vu, elle lisait en cours mais elle ne gênait pas, les autres idem. ils ne gênent pas, donc on les laisse dans leur coin. mais ils détestent l’école. mais le plus dur, c’est les enseignants qui font comme si cela importait. quand elle a fait son blocage, ses enseignants étaient tous cool avec elle, prêts à mettre en place plein de trucs pour qu’elle revienne en cours. mais si les discours étaient beaux, dans les faits, rien ne s’est jamais produit et elle s’ennuie toujours autant.
Oui, je comprends votre frustration car on en arrive à se dire qu’un enfant qui s’ennuie « mais n’a pas de problème », c’est un moindre mal. Mais ces enfants précoces caméléons finissent par détester l’école. Essayez de leur expliquer que si l’école est mal faite (on est d’accord!) ils ne doivent pas en payer le prix (ne pas poursuivre les études les amenant vers un métier qui les intéresse). Il faut être plus malin que l’institution. Si l’enfant bloque, c’est elle qui gagne. Ils doivent trouver leur moteur. Faire « ce qu’il faut à l’école pour toujours avoir le choix pour leurs futures orientations » mais avec détachement. Et se cultiver, se nourrir, se passionner, se lancer des défis (apprendre le chinois, les échecs etc), se relaxer (yoga), se vider la tête (sport) pour ne pas déprimer. C’est malheureusement uniquement à ce niveau que les parents peuvent intervenir, mais cela peut suffire à ne pas faire une fixation sur l’école. Le côté défis est important car au collège (et je sais de quoi je parle), tout est fait pour que tout le monde ait de bonnes notes, alors les enfants précoces sont au-delà de l’ennui! Et les enseignants ont d’autres soucis qu’un élève qui ne pose pas de problème… Apprenez-leur ce que l’école n’apprend plus : le goût de l’effort. Pas besoin des matières scolaires pour cela ! Bon courage à vous et à vos deux enfants.
Ce jeu à l’air super! Ici on s’est pris d’affection aussi pour le gravity superstar du même éditeur, et sinon en coopératif le zombie kidz où de super enfants badass combattent ensemble les zombies qui envahissent l’école, ce jeu est en plus évolutif avec différentes missions, des enveloppes à ouvrir au fur et à mesure des parties et qui ajoutent des pouvoirs, des personnages etc…
Bonjour Virginie,
Merci pour les deux idées de jeux. Je suis allée voir les règles (je ne les connaissais pas). Ils ont l’air bien, surtout zombie kids qui doit même être addictif avec les enveloppes qui se méritent 😉 C’est une sorte d’initiation aux jeux de rôle avec le guide, les personnages etc Les mini geeks vont adorer, ainsi que leurs parents 😉 Je précise (pour les lecteurs) qu’il s’agit de « zombies mignons », pas ceux de walking dead !
Je viens de lire votre article avec beaucoup d’attention! Je suis une adulte à haut potentiel qui a beaucoup souffert pendant sa scolarité, mariée à un haut potentiel qui lui a été poussé et soutenu dans sa scolarité. Et nous avons maintenant une petite tornade qui devrait rentrer à l’école en septembre prochain et ça me questionne en tout point…Pourvu qu’elle vive sa scolarité comme mon mari, pourvu que ses enseignants soient gentils, bienveillants …. Comment faire si nous la voyons en souffrance…
Dites-vous que votre fille aura un vrai point fort : des parents qui la soutiennent. Certains hp se sentent seuls à l’école mais aussi chez eux… Donc c’est déjà un bon point pour elle 🙂 Ensuite, comme vous serez vigilants, en cas de problème, il existe aujourd’hui »hui davantage de solutions comme les écoles alternatives (parfois moins chères que ce que les parents pensent) ou l’école à la maison, ou le saut de classe (pour échapper à un enseignant pas sympa). Invitez dès le début de l’année des camarades d’école pour qu’elle ne soit pas isolée. Et si ça se trouve, elle va se faire rapidement des copains et sa maîtresse sera super ! Ne stressez pas car elle va le ressentir. Demandez à votre mari de lui raconter des anecdotes sur sa scolarité (sans décrire l’école comme un monde merveilleux). Voyez mon article sur la rentrée en maternelle. Et vous nous donnerez des nouvelles !
Merci. Cela va me donner des idées et peut être inventer d’autres jeux pour stimuler la mémoire.
C’est l’imagination au service de la mémoire. Et c’est amusant dès le moment de la création du jeu 😉 Bonne journée et merci pour le commentaire.
bonjour et merci pour cette astuce !!!
Merci et bienvenue Tifanny.
Merci beaucoup pour cette astuce 🙂
De rien, cette semaine je vais m’attaquer aux lettres p et q 🙂
Merci pour toutes ces astuces. Je mets votre page en Favoris.
Bonjour Emeline (et bienvenue !)
Bonne idée pour revenir rapidement et prendre le temps d’explorer 🙂 Merci pour le commentaire.
Bonjour,
Merci pour toutes ces idées. Je vais les utiliser avec ma fille de 8 ans et vous donnerai un retour.
🙂
Bonjour, je découvre votre blog. Un grand merci pour tout ces partages.
De rien 🙂 Le blog est encore jeune et les idées pour aider les parents (et les enfants) se bousculent. À bientôt,
Super site que je découvre aujourd’hui seulement !je vais faire le tour du propriétaire. Merci
Bienvenue ! Pour les visites, c’est portes ouvertes tous les jours 🙂
Un grand merci pour toutes ces idées!
A bientôt,
Bonjour, comment amener mon fils de 10 ans vers le collège sans peur ? Faut il prendre de l avance cet été ? Trouver les évaluations d entrée en 6ème ? Bref comment nous rassurer, nous aussi ?
Merci Delphine
Bonjour Marlène,
Pour répondre à ce commentaire, je me suis lancée dans une explication qui allait faire 2 pages (les coulisses du collège, ça me connait et le sujet est important !). Du coup, je résume en quelques lignes (forcément incomplètes) et je concocte un article sur le sujet (merci pour l’idée !).
Deux types de peur peuvent étreindre élèves et/ou parents : peur que l’enfant ne soit pas à niveau et peur qu’il n’ait pas d’amis. Aujourd’hui, l’entrée en 6e d’un enfant est bien différente de celle connue par ses parents. Il est plus facile d’avoir de bonnes notes et il est plus difficile au niveau des relations (sujet que l’enfant n’évoquera pas souvent de lui-même).
Trouver les évaluations ? Non, aucun intérêt. Prendre de l’avance cet été ? Oui, mais plutôt dans la culture générale que dans les matières dites scolaires (voici un point à développer).
Je finis avec les cahiers de vacances (sujet de l’article ci-dessus) qui ont pour moi 2 utilités (seulement si l’enfant adhère!) : rassurer les enfants anxieux et maintenir un minimum de gymnastique cérébrale (bien que cette gym puisse se faire avec d’autres activités).
À bientôt donc,
Bonjour ! merci pour votre blog qui fait du bien à une maman de deux garçons précoces ( 9 ans et 4ans 1/2) , que tous les instituteurs prennent pour al mère qui pousse ces enfants à être des génies …. Je veux bien le pdf des tables de multiplications
Merci beaucoup vous lire m’a fait beaucoup de bien .
Cindy
Bonjour Cindy,
Eh oui, être soupçonnée de pousser ses enfants alors qu’ils ont simplement la capacité de tout comprendre instantanément depuis leur plus jeune âge… De trop nombreux parents vivent ça (et bien pire). Ce blog est fait pour vous aider et c’est une bonne chose si cet article vous a apporté du soutien. Pour recevoir les puzzles, allez tout en haut de la colonne de droite et cochez ‘je désire recevoir l’activité Star Wars’ en précisant votre mail. Je vous conseille aussi d’explorer la catégorie PRÉCOCITÉ sur la bannière noire tout en haut. Vous y trouverez plein d’idées pour vos garçons. Et comme ce blog est encore jeune et que la précocité est un domaine que je connais bien, cette catégorie va s’enrichir régulièrement. À bientôt et courage.
Bonjour,
Je suis votre blog depuis peu et je trouve les articles très intéressants et plein de bon sens.
Ils nous apportent beaucoup dans notre quotidien avec nos enfants.
En attendant votre prochain article. Bonne continuation
Cléa
Merci ! 🙂
Bonsoir, merci pour le partage
J’en suggère un autre : « Le chat venu du futur », co-écrit par le maître français de la SF, Michel Jeury, et sa fille Dany. https://www.babelio.com/livres/Jeury-Le-chat-venu-du-futur/505619
De la SF avec un chat, ce doit être sympa 😉 Merci pour cette suggestion.
Bonjour,
Merci pour ce blog les parents se retrouvent seuls devant les difficultés de leurs enfants et de trouver un professionnel qui puisse nous donner des astuces c’est réconfortant.
Merci Lucie.
Vous avez parfaitement compris le but de ce blog : « armer » les parents pour « compenser » les lacunes de l’Éducation Nationale malmenée depuis trop longtemps. Sans parler du stress lié à notre société…
Vous êtes donc un « super parent »! Pas dans le sens « parfait » (cela n’existe pas 😉 mais par votre volonté à chercher des solutions et à faire progresser votre enfant.
Merci !!! Je partage !!
Merci Alexandra ! Partageons pour aider les parents !
Merci beaucoup pour ce partage ! Je viens de découvrir votre blog et j’ai déjà appris beaucoup.
Bienvenue Stéphanie,
Je vais faire en sorte que vous appreniez encore 😉
À bientôt.
Delphine
Bonjour
pour l’avoir rencontrée je recommande fortement madame Paris responsable de la cellule eip Paris.
Quand à prévenir les enseignants…. c’est un risque à courir mais cela peut être catastrophique si il n’est pas bienveillant. Nous l’avons fait au collège. Au mieux il n’y a eu aucun changement au pire il s’est moqué de ma fille devant la classe (tu n’est pas un génie va voir un psy) qui depuis ne veut plus que l’on en parle à quiconque : sa confiance dans les adultes est totalement détruite » personne ne peut me comprendre » et tout le travail d’acceptation de sa « différence » est à refaire.
Peut-être d’abord rencontrer le professeur sans en parler, voir comment il perçoit votre enfant et avancer caché ( en donnant des indices et voir comment il les perçoit) avant de tout dévoiler serait à posteriori plus judicieux.
Bonjour Aube,
Vous avez tout à fait raison ! Si l’enfant n’a pas de problème d’adaptation, il vaut mieux ne rien dire. Mais lorsqu’il y a « problème de comportement » comme disent les professeurs, le parent se trouve devant un dilemme. D’un côté, le comportement de l’enfant nécessite explication, et de l’autre côté, on aimerait éviter d’avoir à ‘avouer’ sa particularité. Tout cela est compliqué et difficile à vivre pour l’enfant et les parents (ce dernier point étant totalement ignoré des enseignants). Donc oui, il faut tâter le terrain avant de se lancer et c’est un atout précieux d’avoir un appui (référent EIP, CPE, Copsy, un rapport de test de personnalité mettant à jour une hypersensibilité, etc). Dans l’article je parle de repérer la personne « Cheval de Troie », c’est-à-dire cibler un enseignant ouvert à la question. Mais je suis bien placée pour savoir que souvent, on ne la trouve pas. Il y a 10 ans, lorsque mon fils était au collège, il valait mieux tout cacher. Aujourd’hui, pour un grand nombre de parents, rien n’a changé. Si ce n’est de pouvoir passer par une personne « officielle » comme le référent EIP qui sera plus crédible aux yeux des enseignants que les parents souvent soupçonnés d’idolâtrer leur enfant.
J’ai eu effectivement de bons retours à propos de la référente de l’académie de Paris, madame Paris (la bien nommée).
En tous cas, je vous souhaite bien du courage à vous et votre fille. Ce qui améliore la vie de ces enfants c’est d’avoir au moins un bon copain. Malheureusement, à cet âge, l’enfant se focalise sur les enseignants et en oublie de ‘nouer des relations’. Voyez de ce côté (dans sa classe ou en récréation, dans un groupe théâtre par exemple). Si vous êtes sur Paris, voyez dans les groupes EIP enfants sur Internet (si elle n’a pas d’ami(e) proche). Le soutien des proches est essentiel mais j’imagine que je ne vous l’apprends pas. C’est un peu de douceur dans ce monde de brutes…
À bientôt j’espère,
Delphine
Votre site est vraiment super, je suis ravie de l’avoir découvert et je n’hésiterai pas à le faire connaître à mon entourage ! 🙂 Un grand merci pour votre partage ! 🙂
De rien Laura, et merci beaucoup ! À bientôt.
Je vous remercie pour le lien que vous m’avait envoyé.
Merci beaucoup Delphine de votre réponse!
Non c’est bien moi qui ai écrit, paradoxalement je suis douée en orthographe et ai envie de lire plein de livre car énormément de sujets m’interessent, mais mon apprentissage me fait défaut car cela me demande un gros effort visuel, je lis plus lentement que la moyenne des gens et me fatigue vite à lire…
Je parlais d’orthophonie car il me semble qu’il existe des moyens de ré-éduquer les gens à la méthode syllabique (mais les adultes je ne sais pas).
Mais je vais consulter le site Alphalire qui pourra sûrement m’aider, ainsi que le livre d’Anne Marie Gaignard!
Encore merci pour vos précieux conseils!
Bien à vous
Laureline
Bonjour;
j’ai une fille de 4 ans qui s’intéresse beaucoup à l’alphabet, à la lecture, je commence à regarder les méthodes d’apprentissage auxquelles je pourrais l’initier (votre article est d’ailleurs excellent! Merci!), cependant j’ai moi même appris avec la méthode globale et cela ne m’a absolument pas convenu, cela m’a toujours énormément handicapée (pas d’intérêt pour la lecture, mauvaise lecture d’énoncés en tous genres,… je rêve de pouvoir dévorer un livre dont le sujet m’intéresse mais en suis réduite à écouter des livres audio). Alors je me demandais si vous connaîtriez une méthode d’apprentissage (ou ré-apprentissage) pour un adulte qui aurait mal appris?
Ou peut être dois-je me tourner vers un orthophoniste…?
Merci pour vos conseils 🙂
Laureline
Bonjour Laureline,
Il me semble que les méthodes d’apprentissage FLE (Français Langue Etrangère) dispensées aux adultes arrivant en France pourraient vous être utiles. En vous basant sur la lecture bien sûr, comme par exemple le site Alphalire (quelques exercices gratuits). Je ne connais pas spécialement, mais c’est une piste.
Vous parlez d’orthophoniste. J’en déduis qu’une autre personne a écrit votre commentaire (aucune erreur orthographique) ?? Si c’est le cas et que vous confondez les lettres, oui, une orthophoniste peut vous aider. Voyez aussi les livres d’Anne-Marie Gaignard, comme Coaching orthographique
Si, au contraire, c’est le goût de la lecture qui vous fait le plus défaut, voici 2 pistes à explorer :
– La bibliothèque municipale où vous choisirez avec votre fille des livres enfants que vous lui lirez le soir.
-Pour vos propres lectures, commencez par des livres simples, ludiques et abordant un sujet qui vous passionne. Vous allez me dire que le problème est justement que vous ne connaissez pas assez les livres pour trouver ces perles 😉 Si vous me listez vos centres d’intérêts, je pourrais peut-être vous guider. Par exemple, pour les amoureux des chats, le petit livre « Conversations avec mon chat » de David Fisher, est excellent.
En espérant vous avoir un peu aidée,
Delphine
Bonjour Delphine,
Merci pour ce super article très clair et bien fourni. Je m’en vais de ce pas commander le livre « Je suis précoce, mes profs vont bien » pour l’offrir à une amie qui est prof dans le collège de mon fils.
Merci également pour vos articles qui sont toujours intéressants !
A très bientôt.
Sylvie.
Bonjour Sylvie,
Comme je passe beaucoup de temps pour chaque article, ça me fait plaisir de savoir qu’ils plaisent. Et il y a tant à dire ! Merci pour avoir pris le temps d’écrire un commentaire.
À bientôt,
Delphine
Bonjour,
merci pour votre réponse rapide et l’accès à toutes ces activités, je vais tester et vous ferai un retour avec mon fils de 7ans à l’imagination débordante !
Parfait 🙂 À bientôt.
Je viens de découvrir le blog.
Cela va me permettre d’élargir mon champ de lecture, jeux, etc..
Merci !
Bienvenue Agathe 🙂
Simple et efficace, merci pour vos articles.
Contente que cela vous soit utile. À bientôt pour d’autres astuces.
Merci Tigrou 😉
Je ronronne…
admirable partage…merci pour 8 petits Ulyssiens!
De rien 🙂
Merci beaucoup pour la rapidité de l’envoi des mails et de nous faire partager votre savoir faire .
Merci Sabrina ! Oui Internet permet de partager et d’échanger pour aider les enfants et il faut en profiter 😉 À bientôt
Une sorte de « Rush hour » amélioré qui donne envie, pour un prix modique (je viens de le voir à 14,99 € sur le site de l’éditeur).
Oui, c’est exactement ça. SmartGames a une collection basée sur ce principe mais toujours avec un petit plus qui change tout 🙂 Celui-ci me plaît spécialement. J’ai effectivement mis le lien vers l’éditeur en cliquant sur la photo de la boîte, mais il est vrai que je ne l’ai pas précisé. Je rajoute. Merci pour le commentaire.
C’est encore Aurélie. Après les jeux de mots, c
Ce matin, Mélissa s’est attaqué aux coloriages pour réviser ses tables. même si star war ne la passionne pas (elle est plutôt passionnée par les animaux), elle a bien aimé le robot et le petit animal (moins les vaisseaux). Je suis votre blog très intéressant.
Merci Aurélie !
Cela fait toujours plaisir de savoir que mon travail plaît. Promis, j’insère des animaux dans ma prochaine activité. Je ne vous promets pas une ressemblance parfaite, il y a aura sûrement davantage de chats que de chevaux (qui risqueraient de ressembler à des ânes;-). À bientôt donc et bonnes vacances à Mélissa !
Avec ma fille de 9 ans on a fait tous les exercices. elle a été meilleure que moi pour certains et cela l’a amené a m’en réclamer d’autres. Je vais lui proposer votre autre activité. Je voulais juste dire merci.
Aurélie (et Mélissa, ma fille)
Merci Aurélie.
Je vous avais répondu sur votre commentaire de l’activité Star war. Pour cette activité-ci, il est facile de multiplier les possibilités. Du coup, je vais rajouter une page d’étiquettes vierges que l’enfant pourra compléter avec ses mots. Une autre page peut être ensuite complétée par vous pour augmenter la difficulté (et le vocabulaire de l’enfant). D’autres articles seront consacrés aux petits exercices maison favorisant la concentration et la mémoire.
À bientôt,
Il a l’air sympa ce jeu, je vais tester.
Manu
Oui, très sympa ! Vous ne le regretterez pas. Il suffit parfois de peu de matériel pour avoir un bon jeu 😉
Interessant, je vais essayer avec ma fille. En plus elle confond gauche et droite…
Un article qui fait du bien ! Merci.
De rien Pascale ! Même si la solution miracle n’existe pas toujours, il est déjà réconfortant de ne pas se sentir seule et de ne pas culpabiliser d’avoir un enfant qui ne rentre pas dans le moule étroit de l’EN ! À bientôt,
Delphine
Bonjour,
Article très utile et même pour les parents … ;°)
Angélique
Merci Angélique ! Et lire l’histoire avec l’enfant permet de réviser l’air de rien 😉
Bonjour,
Mon fils ainé a appris à lire avec la méthode globale voir mixte et ce fut très laborieux. J’ai acheté la méthode Boscher pour rattraper les dégâts.
C’est une méthode très simple et logique.
La maîtresse de mon deuxième fils applique une méthode syllabique et dès les vacances de noël en CP il savait lire.
Merci pour vos articles toujours très pertinents.
Cléa
Merci Cléa,
La méthode Boscher est la plus ancienne et la plus répandue chez les libraires. Elle est très bien si l’enfant n’a pas de difficultés spécifiques. Elle a sauvé un certain nombre d’enfants. Aujourd’hui, J’apprends à lire avec Sami et Julie est également une méthode très plébiscitée par les parents (à juste titre). À bientôt pour un article sur l’accord du participe passé…
merci pour l’idée cuisine!
De rien !
Nous avons testé ce jeu en famille aujourd’hui. Très très sympa. Et direct sur la liste de Saint Nicolas 🙂
Bonjour Béné,
Merci pour votre partage d’expérience. C’est effectivement un jeu familial original. À bientôt pour d’autres articles sur des jeux tout aussi sympas.
Delphine
Petite question quant aux règles du jeu, car chez nous il y a débat: on lance la sablier dès le début de la partie ou une fois les armes dérobées et les 4 personnages en fuite ?
Dès le début du jeu. Mais rien n’empêche de « jouer avec le sablier » en fonction de l’âge des joueurs. J’en profite pour préciser qu’une fois les armes dérobées, les personnages n’ont plus le droit d’utiliser les cases vortex. Mais ce que j’aime dans ce jeu, c’est justement le choix des scénarios et donc des règles du jeu. Quels âges ont vos joueurs ?
C’est ce que je pensais, merci 🙂 Les enfants ont 9 et 7 ans, nous avons juste joué 2 parties ce week-end lors d’une animation. Et en effet, les scénarios progressifs, c’est très sympa !
Bonjour,
j’ai une nièce de 6 ans et un neveu de 9. ce jeu ira mieux pour qui? merci de votre réponse.
Bonjour,
Plutôt pour votre neveu de 9 ans. Votre nièce de 6 ans pourra jouer avec lui sur les premiers niveaux. Du coup, je vais aussi penser à des jeux pour les plus petits dans les prochains articles. À bientôt,
Delphine
Je ne connaissais pas ce jeu; bonne idée pour noel
J ‘ai acheté » les petites énigmes » pour mon fils de 11 ans. Une manière de travailler plus ludique qu’un cahier d’activités classique.
Bonjour
J’ai parlé à mon fils qui rentre en 5 ème de cet article et il m’a dit que c’est ce qu’il avait fait l’année dernière spontanément. Le vert pour la SVT car ça lui rappelle la nature. Le rouge pour l’anglais car il y a du rouge dans l’Union Jack.
Vos articles seront utiles avec la rentrée qui approche…
Cléa
Bonjour,
Super article ! Merci.